• Je faisais une vérification et je me suis rendue compte que j'avais oublié deux chapitres, je vais donc mettre les liens ici:

    -
    Je me souviens..........
    -
     En thérapie......


    Ce sont dans le chapitre 4, les parties 3 et 5.

    Maintenant il va falloir que je crée, je n'ai plus de texte enregistré sous word, heureusement que j'ai récupéré en partie l'usage de ma main droite pour le clavier.





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    Quelques jours après cette séance chez la nouvelle thérapeute, j'ai une idée en tête : raconter les abus, pour pouvoir passer à autre chose. Et cette idée là m'encombre et me fait angoisser.

    Un jour ou je me sens vraiment mal, j'appelle mon psychiatre et lui fait part de mon angoisse. Il me dit : Oui, nous en avions parlé, il faudra prévoir une séance plus longue d'au moins une heure. Je lui dis que le prochain RV est fixé 15 jours plus tard, il peut me recevoir pour cette séance prolongée 5 jours avant cette date. C'est un samedi matin, j'accepte. Il ajoute : On verra ce que l'on peut faire et on maintient le RV suivant.

    Je verse quelques larmes en raccrochant devant tant d'empathie, tant de considération et de compréhension. Je remercie souvent d'avoir rencontré cet homme sur ma route, je l'ai vu pour la dernière fois cette année à la fin Mars pour terminer une thérapie de couple.

    Mon mari, à qui je fais part de ma démarche, m'accompagnera en voiture ce samedi là.

    Des séances de kiné à cette période ou mon dos me fait beaucoup souffrir, me permettent aussi d'échanger sur la famille avec ma kiné sensibilisée au problème d'inceste.


    Période récurrente de cauchemars :


    • L'un ou je perdais mon mari dans un tremblement de terre.

    • Un autre ou lorsque je me confiais aux bénévoles de sos-inceste, des anciennes collègues de travail écoutaient à la porte.



    C'était vraiment une année plus que douloureuse.


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    Quelques jours après cette séance chez la nouvelle thérapeute, j'ai une idée en tête : raconter les abus, pour pouvoir passer à autre chose. Et cette idée là m'encombre et me fait angoisser.

    Un jour ou je me sens vraiment mal, j'appelle mon psychiatre et lui fait part de mon angoisse. Il me dit : Oui, nous en avions parlé, il faudra prévoir une séance plus longue d'au moins une heure. Je lui dis que le prochain RV est fixé 15 jours plus tard, il peut me recevoir pour cette séance prolongée 5 jours avant cette date. C'est un samedi matin, j'accepte. Il ajoute : On verra ce que l'on peut faire et on maintient le RV suivant.

    Je verse quelques larmes en raccrochant devant tant d'empathie, tant de considération et de compréhension. Je remercie souvent d'avoir rencontré cet homme sur ma route, je l'ai vu pour la dernière fois cette année à la fin Mars pour terminer une thérapie de couple.

    Mon mari, à qui je fais part de ma démarche, m'accompagnera en voiture ce samedi là.

    Des séances de kiné à cette période ou mon dos me fait beaucoup souffrir, me permettent aussi d'échanger sur la famille avec ma kiné sensibilisée au problème d'inceste.


    Période récurrente de cauchemars :


    • L'un ou je perdais mon mari dans un tremblement de terre.

    • Un autre ou lorsque je me confiais aux bénévoles de sos-inceste, des anciennes collègues de travail écoutaient à la porte.



    C'était vraiment une année plus que douloureuse.


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    Quelques jours après cette séance chez la nouvelle thérapeute, j'ai une idée en tête : raconter les abus, pour pouvoir passer à autre chose. Et cette idée là m'encombre et me fait angoisser.

    Un jour ou je me sens vraiment mal, j'appelle mon psychiatre et lui fait part de mon angoisse. Il me dit : Oui, nous en avions parlé, il faudra prévoir une séance plus longue d'au moins une heure. Je lui dis que le prochain RV est fixé 15 jours plus tard, il peut me recevoir pour cette séance prolongée 5 jours avant cette date. C'est un samedi matin, j'accepte. Il ajoute : On verra ce que l'on peut faire et on maintient le RV suivant.

    Je verse quelques larmes en raccrochant devant tant d'empathie, tant de considération et de compréhension. Je remercie souvent d'avoir rencontré cet homme sur ma route, je l'ai vu pour la dernière fois cette année à la fin Mars pour terminer une thérapie de couple.

    Mon mari, à qui je fais part de ma démarche, m'accompagnera en voiture ce samedi là.

    Des séances de kiné à cette période ou mon dos me fait beaucoup souffrir, me permettent aussi d'échanger sur la famille avec ma kiné sensibilisée au problème d'inceste.


    Période récurrente de cauchemars :


    • L'un ou je perdais mon mari dans un tremblement de terre.

    • Un autre ou lorsque je me confiais aux bénévoles de sos-inceste, des anciennes collègues de travail écoutaient à la porte.



    C'était vraiment une année plus que douloureuse.


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  • C'est toujours en ce mois d'Avril 2000 que j'essaie de faire tout ce qu'il faut pour avancer et aller mieux, et sur les conseils de mon psychiatre, je rencontre une psychologue qui pratique de la sophrologie, de l'emdr, de l'hypnose, enfin plein de méthodes, un peu trop à mon goût.

    Donc le premier Rv se passe bien, c'est une femme qui parait assez douce, gentille. Elle pose des questions sur ma vie ordinaire: âge, situation, prénoms et âges des enfants, de mon mari, mon travail.
    Elle demande pourquoi je viens, je parle de mon état dépressif puis de l'inceste bien sur, elle demande des détails, c'est très désagréable. Quand je dis que mon frère est mort, elle demande des explications sur sa mort, sa vie.
    Bref cela fait un peu questionnaire de police et ce n'est pas plaisant, pas du tout professionnel je trouve.
    Puis elle conseille par rapport à ma fille, elle est assez directive.

    Elle revient sur ma dépression, reprend ses questions par rapport aux enfants aussi.

    Et elle me demande ce que j'attends d'elle. Je lui dis que j'aurais besoin d'exprimer ma souffrance plus par le corporel,  je lui dis que j'aimerais avoir moins d'angoisses et savoir les gérer. Je dis aussi que je sens que j'ai des choses à sortir.

    Elle propose de commencer par voir la respiration, car depuis que je suis là à parler, je n'ai pas respiré, pas expiré à fond toujours bien, et c'est fatigant et provoque des tensions.
    Elle vient mettre sa main sur mon ventre pour m'apprendre à respirer.

    Elle propose de refaire ces exercices chez moi plusieurs fois par jour.
    Elle parle de méthode douce pour le moment car dit elle, je suis une écorchée vive et très fragile, donc pas de méthodes plus agressives. Nous allons essayé de gérer le stress et les angoisses.

    Elle redonne un RV pour la semaine suivante.

    La séance m'a bien plu, bon après la suite ne me donnera pas toujours raison mais c'est ainsi.




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